«L’UDF doit rester un parti d’impulsions»
3 mars 2014
Durant quinze ans, Maximilien Bernhard a été secrétaire et porte-parole romand de l’Union démocratique fédérale, petit parti politique qui défend une éthique évangélique. Mais fin 2013, le politicien a annoncé son départ pour le Parti libéral radical. Il explique alors avoir fait le constat que désormais, les valeurs qu’il défend sont aussi reprises par les grands partis. Le politologue René Knüsel note toutefois que les questions morales ne sont plus celles sur lesquelles les partis se profilent.