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Les propositions qui allient écologie et spiritualité foisonnent. Comment expliquer l’engouement pour ces expériences en pleine nature?

Réunis en synode national samedi 22 août à Zurich, les catholiques-chrétiens se sont prononcés en faveur de célébrations de mariage identiques pour les couples hétérosexuels et homosexuels. Pour cette Église, les partenariats de même sexe doivent être «célébrés liturgiquement et compris théologiquement de la même manière».

Dans le documentaire «Shalom Allah», sorti le 26 août sur les écrans romands, le réalisateur zurichois David Vogel suit le parcours de Suisses convertis à l’islam.

Des faits d’actualité ne font pas ou plus l’objet d’images, comme s’ils avaient disparu des radars des médias. C’est par exemple le cas de conflits oubliés comme au Yémen ou du trafic d’organes. Que peut-on néanmoins dire à leur propos ou plaider?

Certains rendent régulièrement visite à son ermitage. D'autres ont transformé l'ermite en sujet d'icône. On se souvient de son choix radical d'une vie plus dépouillée. Mais aussi de l'accueil et des conseils qu'il prodiguait à ses visiteurs. Comment Nicolas de Flue inspire-t-il la vie spirituelle des Suisses aujourd'hui?

«N’élargissez pas trop la clôture.» Sans qu'on sache si elle a effectivement été prononcée par Nicolas de Flue, cette phrase a fait couler beaucoup d'encre. Au XVIe, les Lucernois en ont fait usage pour critiquer la conquête du Pays de Vaud par les Bernois. Plus récemment, Christoph Blocher s'en est servi pour sanctifier les positions de l'UDC contre l'adhésion de la Suisse à l'ONU ou à l'Espace économique européen. Nicolas de Flue serait-il le champion de la neutralité helvétique?